Joseph Perez, Juliette George et Clément Douala
Vendredi 27 janvier
20:00
Friche la Belle de Mai
PerformanceVendredi 27 janvier
20:00
Friche la Belle de Mai
PerformanceCette année, le Festival Parallèle a invité deux artistes présent·e·s dans la programmation de l’année dernière à revisiter la notion de cérémonie d’ouverture : Juliette George et Joseph Perez. Comment lancer un festival ? Qu’est-ce qui fait cérémoniel ? Ce n’est donc pas le choix d’un spectacle plutôt qu’un autre qui endossera cette responsabilité, mais le geste de deux artistes aux pratiques très contrastées, unies par leur sens du jeu d’enquête et de l’humour.
Crédits photographiques : Juliette George
Né en 1994, Joseph Perez a été diplômé des Beaux-Arts de Paris en 2018. Il a notamment présenté des projets dans le cadre de l’exposition itinérante « Hotel Europa » (à Vilnius en Lituanie en 2017, à Bruxelles en 2018, puis à Tbilissi en Géorgie en 2019), lors de la manifestation « 100 artistes dans la ville » présentée par le MO.CO. (Montpellier, 2019) et à l’occasion de l’exposition « Futures of Love » aux Magasins généraux (Pantin, 2019).
En 2021, il est associé à la création d’Artagon Marseille dans le quartier de Sainte-Marthe dans le 14e arrondissement. Il y propose des ateliers avec le programme (R)ouvrir le monde, met en place le Sainte-Marthe Cinéma Club avec d’autres résidents et participe à la 12e édition du festival Parallèle lors de la soirée « Confessions nocturnes ».
Après des études littéraires, Juliette George étudie à l’ENSP d’Arles, d’où elle sort diplômée en 2021. Depuis, elle développe sa pratique à travers des expositions collectives à Paris, Tbilisi, Marseille ou Montpellier (Jeune création, Mécènes du sud, Château de Servières), des programmes de résidence (Ateliers médicis, Rouvrir le monde, Images in), des lectures (Rencontres de la photo, laboratoires d’Aubervilliers) et des publications (16b éditions, carnets des laboratoires d’Aubervilliers).
Clément Douala se résume parfaitement à quelques lignes, il est libraire et travailleur du texte. Il n’aime pas :